Le réveil tardif des services de contrôle à la frontière RDC-Zambie : une course contre la farine de la mort
Le Haut-Katanga, région stratégique de la RDC, se retrouve au cœur d'une crise sanitaire qui interpelle les consciences. L'alerte lancée par le gouvernement congolais sur la présence d'aflatoxine dans certaines marques de farine de maïs en provenance de Zambie est désormais une réalité préoccupante. Les services étatiques, autrefois endormis, se mobilisent enfin aux frontières pour protéger la santé des Congolais.
Kinshasa interdit huit marques de farine provenant de Zambie d'être commercialisées en RDC. Il s'git de : African milling, Roller meal and breakfast, Farm feed superdog meal, Continental milling, Shabco milling, Girad milling, Busu milling et Star milling
A Kolwezi, la capitale du Lualaba, au sud de la RDC, un phénomène tragique se déroule sous nos yeux. Les habitations de certains quartiers, jadis symbole de prospérité et de vie, s’effacent progressivement du cadastre, chassées par l’avancée inexorable des mines.
Dans un monde en mutation rapide, où les défis professionnels n’épargnent personne, la jeunesse cherche désespérément sa place. À Kinshasa, capitale trépidante de la RDC, même les jeunes chrétiens sont confrontés à une question existentielle : comment allier foi et succès professionnel ?
Quand Jean-Paul Lokumu, directeur provincial de l’Anadec au Sud-Kivu, prend la parole, ça ne ressemble jamais à un monologue monotone. C’est une envolée pleine de fermeté et de bon sens. Cette fois-ci, c’est le Guichet unique de création d’entreprise (GUCE) qui a reçu une salve.
Dans la ville portuaire de Matadi, dans l’ouest de la RDC, une nouvelle forme de criminalité a vu le jour, exploitant la douleur des familles endeuillées. Les "Kuluna", autrefois simples délinquants de rue, ont trouvé une méthode macabre pour choisir leurs cibles : écouter attentivement les communiqués nécrologiques diffusés à la radio et à la télévision.
Le 24 novembre, l’hôtel Serena de Goma, dans l’est de la RDC, a été le théâtre d’un événement aussi glamour qu’inspirant : "Evening in Black". Organisée sous la thématique "Propulser les marques locales : le branding et la collaboration", la soirée a rassemblé le gratin des entrepreneurs et influenceurs congolais dans une ambiance feutrée et élégante.
Dans les entrailles frémissantes de la capitale congolaise, où la rumeur des marchés s’entrelace avec les rêves brisés des enfants des rues, un phare d’espoir émerge : Hope International. Cette Ong, plus qu’un nom, est un hymne à la résilience, consacrant son souffle à redonner une dignité et un avenir à celles que la vie a écartées : les filles des rues.
Alors que le feu s’étendait, une vingtaine de maisons partaient en fumée à Nyamugo dans la soirée, suivies d’une trentaine d’autres à Nkafu quelques heures plus tard. Et comme toujours : bilan lourd en dégâts matériels, avec des centaines de sinistrés sans abris.
Perdu dans une végétation luxuriante à 17 kilomètres à l’est de Kisangani, l’aéroport international de Bangoka est bien plus qu’un simple tarmac. Avec sa piste de 3 500 mètres, il est le témoin silencieux de l’histoire et des turbulences d’une région riche en promesses.
À l’occasion de la masterclass "Innovation et accès aux marchés publics et privés : opportunités de croissance pour les entreprises en RDC", le Révérend Hubert Miyimi, ingénieur civil et leader chevronné, a livré une présentation vivante sur le thème du leadership des jeunes dans l’innovation. Une ode au génie juvénile, mêlant inspiration, stratégie et défis concrets.
Entre deux averses tropicales et un embouteillage caractéristique de la capitale congolaise, un vent de renouveau a soufflé sur le Centre financier de la commune de la Gombe. Judith Suminwa, la première ministre au verbe aussi aiguisé que sa vision, a rassemblé l’élite intellectuelle, le 16 décembre, pour un colloque sur l’enseignement supérieur et universitaire (ESU), avec un objectif clair : transformer les étudiants en entrepreneurs.
Dans le monde, 70% des jeunes peinent à expliquer le changement climatique, selon l’Onu. Coincés entre slogans verts et ignorance scientifique, ils réclament une éducation climatique claire, pratique et engageante. Car à quoi sert une génération qui maîtrise TikTok mais bloquée sur la question "pourquoi la Terre chauffe ?"
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